La plupart des ateliers d’écriture se basent sur la transmission d’expérience. Un maître, généralement vénérable et toujours publié, s’adresse à des disciples qui espèrent bénéficier de sa sagesse et de son expérience.
Ici, même si j’ai en effet publié quelques ouvrages, je serais bien à mal de me poser en maître. Après tout, les 1000 ans d’histoire galactique que j’espère encore écrire un jour sont toujours bien coincés dans mon cerveau.
De plus, toutes les bonnes excuses que j’ai citées pour ne pas écrire, je les ai utilisées. Souvent. Et pas plus tard qu’hier.
Un groupe de travail
Donc le modèle sera plutôt celui des groupes de travail, où chacun apporte sa pierre à l’édifice global et où, pour reprendre la formulation apparemment fétiche d’une ponte des ateliers littéraires : « par l’intelligence que provoquent les échanges » chacun participe à la progression des autres.
Cet atelier propose un voyage, entrepris ensemble, vers un seul but : l’extraction de nos inécrits de la bibliothèque de Lucien.