L’écriture est un processus solitaire.
Un des avantages des ateliers est qu’ils permettent aux auteurs en herbe d’échanger leurs idées, de les tester, de les améliorer en les confrontant à celles des autres.
On y revoit les bases fondamentales de l’écriture de fiction.
On y parle évidemment de genre, de structure, d’intrigue et de personnages.
Mais pour Nos inécrits, très rapidement, on plongera dans le vif du sujet.
L’idée, je le répète, c’est de sortir ce foutu texte des limbes et de le coucher sur des pages.
On commence en octobre, mais dès fin novembre, on dispose d’un premier jet à retravailler.